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lundi

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quand tu traces ce sentier
où tes fantômes s'effacent
dans les lampes,

j'ai vu le soleil
caresser tes mains,
je l'ai vu se pencher
et te réchauffer l'ombre,
je l'ai vu te parler,
à toi et à toi seule

il te disait ce chemin
tapissé de coquelicots
et l'été qui sommeille
en toi