il est de retour le danseur,
et j'ai la musique dans la main,
plus silencieuse que le soleil ;
c'est que hors de son corps
il habite le mouvement,
c'est qu'elle est à lui
la nuit entière du poème,
sans cesse plus proche
de la brique et de ce fleuve
de Garonne
qui en nous s'égare